../ des histoires/ road trip juillet 2005

MARDI 19 JUILLET
	Nous attrapons l'autoroute en direction de l'aéroport et prenons la sortie 23. Nous trouvons assez facilement des places de parking gratuite pour les deux voitures puis grâce aux indications données sur www.bmxinfo.com, nous trouvons facilement un premier skatepark sur la plage. Le bowl de 50cm de profondeur est juste à la bonne taille pour moi.
	Quentin préfère la mini à spine en béton qu'il unlookdown...
	et qu'il grind.
	Je me décide à jouer sur ce gros pointu où je me pose en feeble avant de passer de l'autre côté... de la grosse cascade pour moi.
	On range les vélos avant d'aller se baigner et Rudy m'apprend un jeu qui me plaît bien. C'est le jeu de la baleine. Il s'agit de s'allonger sur le bas de la plage et de ne plus bouger, attendant que les vagues te fassent glisser sur le sable et te remuent dans tous les sens.
	Juste à côté de la plage et du park se trouve se morceau de coque qui a fait la couverture d'un Cream. Il aura fallu attrendre qu'un arrosage automatique s'arrête et que je saoûle mes cascadeurs préférés un moment, mais au final, j'ai eu mes photos. Aurélien.
	Damien.
	Quentin.
	Changement de spot. Nous partons à la recherche des vagues. Sur la route, on se rend compte que la réputation de Barcelone n'est pas surfaite, plan inclinés de toutes sortes, toboggans créés pour rouler dessus en vélo, ... Nous arrivons donc à l'intersection gran via/rambla prim et découvrons les vagues. Il ne faut pas venir à Barcelone juste pour ça mais c'est quand même rigolo.
	En retournant vers le centre ville nous trouvons encore quelques spots; cette drôle de place par exemple près d'un stade à moins d'un kilomètre des vagues.
	Rudy tailwhip foot jam.
	Photo de groupe.
	Il y a 50 bosses de ce genre sur l'avenue que nous suivons pour retrouver le centre. Un coup d'oeil à la Sagrada Familia de Gaudi qui n'est pas loin puis nous attaquons la descente de la Rambla. Je mange dans l'étonnant marché St Joseph quelques tapas meilleurs et bien moins cher que la veille puis nous arrivons à la statue de Colomb.
	C'est juste à côté que se trouve ce wall sur lequel j'ai bien du mal à aller plus haut...
	et celui-ci pour ceux qui comme Aurélien savent faire des bunny hops.
	Toujours grâce à bmxinfo, on trouve les bosses près de l'aquarium. Max y pose un turndown.
	Quentin un "touche ta roue avec tes fesses" et Pierre ne trouve rien de mieux à faire que de crever.
Retour à pied, une dernière baignade puis direction les voitures pour le départ vers Mataro mais... à la place de ma belle Berlingo avec toutes nos affaires dedans, nous retouvons du verre brisé. Il va être un peu compliqué de rentrer en France en vélo. Nous rejoignons Pierre pour lui expliquer notre petit problème puis nous tentons de trouver la police. Hola, vous parlez français ? No. You speak English ? No. Ok, super. Mi coche. Robado. Aqui esta mi documentation. Je donne donc mes papiers et le policier reviens un quart d'heure plus tard en nous annonçant no robado : mal parcado puis il essaye de nous expliquer où se trouve la fourrière.
	Avec les bouts de verre et ma place de parking tout à fait valide, j'ai du mal à la croire mais je n'ai rien de mieux à faire. Les voleurs, après avoir joué avec l'auto, l'ont probablement garé n'importe où et en plus de ma voiture dépouillée je vais être obligé de payer la sortie de fourrière. Bien entendu le guichetier payé pour entendre des insultes toute la journée ne parle que espagnol mais après une heure d'efforts nous obtenons le droit d'aller un par un voir la voiture. Seule une vitre arrière a été cassée et trois sacs ont disparu. Malheureusement, l'un d'entre
	Ne sachant pas quoi faire de la fin de notre soirée, nous allons faire una denuncia au commissairiat central (Rambla Guipuzcua n°74, Policia Nacional) d'où nous ne sortirons qu'un peu avant 1 heure du matin. Youpi ! direction Mataro à 20km de là sur la côte.
	Petite session de bowl pendant une heure histoire de fêter la voiture cassée et les sacs disparus puis c'est largement l'heure d'aller dormir.
MERCREDI 20 JUILLET
	Les dormeurs valentinois et le bowl au petit matin.
	Petit déjeuner.
	La vitre cassée.
	Le retour à Valence après 1200km de route. 59 euros de péages. 90 euros de carburant. 32 euros d'hôtel. 45 euros de franchise pour la vitre arrière. 180 euros en liquide dans le sac disparu d'Aurélien.